Activité physique (jeu, lutte, effort...) dont la pratique est basée sur des règles et sur un entraînement spécifique.
Les études médicales indiquent que l’activité physique a un rôle bénéfique sur la fonction cardiovasculaire, le métabolisme, la composition corporelle, etc. Chez le sujet très âgé, l’activité physique prévient l’état de « fragilité » en améliorant la fonction musculaire, l’aptitude cardio-respiratoire, l’équilibre, l’état thymique et les capacités d’attention. Par ailleurs, elle améliore l’appétit.
À tout âge, une activité physique régulière peut améliorer considérablement la santé et prolonger vie active et autonomie. Pratiquer une activité physique, quelle qu’elle soit, est nécessaire même lorsque l’on atteint un âge avancé. Bouger permet de réduire l’invalidité et d’améliorer la qualité de vie des aînés.
A contrario, l’inactivité physique est accompagnée d’un cortège de problèmes qu’on dit liés à l’âge, mais qui pourraient être réduits en évitant la sédentarité. Celle-ci provoque en effet une diminution de la densité osseuse et de la force musculaire. Le manque d’activité physique est ainsi l’une des principales causes des maladies du grand âge, car elle affaiblit notamment le cœur et les poumons.